Révélation du salaire XXL de Lionel Messi : combien gagne le joueur le mieux payé en MLS ?

Révélation du salaire XXL de Lionel Messi : combien gagne le joueur le mieux payé en MLS ?

Je dois vous avouer que les chiffres font tourner la tête. Entre mon café matinal et mon loyer parisien qui me ronge l’âme, je me suis plongée dans l’univers des salaires footballistiques. Et pas n’importe lesquels : celui de Lionel Messi, ce petit génie argentin qui fait désormais briller la MLS de ses dribbles chaloupés. Parce qu’après tout, pourquoi ne pas parler argent quand on vit dans un monde où le talent se monnaie à prix d’or ? Allons-y, décortiquons ensemble ce que gagne vraiment celui qui fait rêver tant d’enfants sur les terrains de fortune.

Salaire astronomique de Messi à l’Inter Miami

Alors que je galère avec mes factures en fin de mois, certains jonglent avec les millions comme je jongle avec mes soucis quotidiens. Lionel Messi trône aujourd’hui au sommet de la pyramide salariale de la Major League Soccer. Son contrat avec l’Inter Miami lui assure un revenu fixe d’environ 12 millions d’euros annuels. Mais ne nous arrêtons pas là – ce serait trop simple.

Avec les bonus garantis, sa rémunération totale grimpe à 20,45 millions de dollars (près de 19 millions d’euros). Je ne sais pas vous, mais moi, ces chiffres me donnent le vertige. Son contrat floridien court jusqu’à fin 2025, ce qui représente une valeur totale estimée entre 125 et 150 millions de dollars sur deux ans et demi. Et tout ça sans même avoir touché de prime à la signature !

Ce qui me stupéfie davantage, c’est de constater l’écart abyssal entre sa rémunération et celle des autres joueurs du championnat. Pensez-y : le salaire minimum en MLS est de 63 730 euros. Cela signifie que Messi gagne 305 fois plus que certains de ses collègues. Et même au sein de son propre club, quatre joueurs touchent ce minimum syndical. Quelle ironie, non ?

Joueur Club Salaire annuel (en millions €)
Lionel Messi Inter Miami 18,8
Lorenzo Insigne Toronto 13,25
Sergio Busquets Inter Miami 8

Insigne et Busquets sur le podium des salaires en MLS

Si je vous disais que derrière notre star argentine se cache une véritable aristocratie du football mondial ? Lorenzo Insigne, l’Italien de Toronto, arrive en deuxième position avec environ 14,5 millions d’euros annuels. Sergio Busquets complète ce podium doré avec ses 8,8 millions de dollars (environ 8 millions d’euros). Ancien camarade de Messi au Barça, il l’a suivi jusqu’à Miami pour prolonger leur complicité sur le terrain.

Le top 10 des salaires de la MLS ressemble à un véritable casting de stars internationales. J’y retrouve des noms qui me parlent :

  • Miguel Almirón
  • Hirving Lozano
  • Xherdan Shaqiri
  • Javier Hernandez
  • Federico Bernardeschi

Côté français, Jonathan Bamba (Chicago Fire) se contente « modestement » de 4,8 millions d’euros par saison, tandis que Kévin Cabral est le Français le mieux payé avec 1,7 million d’euros. À côté de Messi, ces sommes paraissent presque raisonnables, ce qui en dit long sur la distorsion des valeurs dans ce milieu.

Et que dire des anciens compagnons de route barcelonais de Messi ? Luis Suarez et Jordi Alba touchent chacun 1,5 million de dollars à Miami. Une broutille comparée à leur capitaine. Quand je pense que le salaire moyen en MLS s’élève à 546 990 euros, je ne peux m’empêcher de ressentir un léger malaise face à ces inégalités normalisées.

Impact financier et revenus additionnels du phénomène Messi

Si vous pensiez que le salaire fixe de Messi représentait l’intégralité de ses revenus, détrompez-vous. L’empire financier de l’Argentin s’étend bien au-delà des simples émoluments versés par son club. Les contrats publicitaires avec des marques comme Apple ou Adidas viennent considérablement gonfler son portefeuille.

Savez-vous qu’une partie de son salaire (1 million d’euros) est même versée en cryptomonnaie ? Voilà qui illustre parfaitement notre époque : même les footballeurs surfent maintenant sur la vague des monnaies virtuelles. Avec les pourcentages issus des droits TV et de la revente de maillots, ses revenus annuels pourraient frôler les 50 millions d’euros. De quoi faire pâlir n’importe quel PDG du CAC 40.

L’impact sur l’Inter Miami est colossal. Messi et Busquets représentent à eux seuls 70% de la masse salariale du club, qui s’élève à 41,7 millions de dollars. C’est plus du double de celle de presque toutes les autres équipes de la MLS. Un investissement justifié par les retombées économiques considérables que génère la présence du septuple Ballon d’Or.

Je me demande parfois si ces sommes sont réellement proportionnées aux performances. Cette saison, Messi a inscrit neuf buts et délivré dix passes décisives en MLS. Il a récemment marqué un doublé pour envoyer l’Inter Miami en finale de la Leagues Cup. Certes, c’est impressionnant, mais est-ce que ça vaut vraiment 305 fois le salaire minimum du championnat ? La question mérite d’être posée, non ?

Du Barça au PSG jusqu’à Miami : l’évolution des revenus de Messi

Je trouve enchantant de retracer l’évolution salariale de Messi. Au PSG, il percevait 30 millions d’euros net par saison, à égalité avec Neymar. Son passage en MLS représente donc une baisse significative de ses revenus directs, même si les avantages fiscaux de la Floride compensent partiellement cette diminution.

Si l’histoire s’était écrite différemment, il aurait touché environ 30 millions d’euros au FC Barcelone s’il y était resté. Une somme déjà réduite de moitié par rapport à son ancien salaire catalan de 61 millions d’euros ! Ces chiffres racontent à leur manière l’histoire du football moderne, où l’argent coule à flots pendant que certains clubs historiques comme le Barça croulent sous les dettes.

À 36 ans, Messi continue de faire vibrer les foules et de remplir les stades. Sa valeur marchande dépasse largement le cadre du terrain pour devenir un véritable phénomène culturel et économique. Mais n’est-ce pas le reflet d’un système qui place le profit au-dessus de tout ? Comme cette société qui nous pousse à consommer toujours plus, le football moderne semble avoir perdu une partie de son âme dans cette course effrénée aux millions.

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