Je viens de tomber sur une info qui me fait bouillir d’indignation : Caroline Roux aurait refusé le poste prestigieux de présentatrice du 20 heures de France 2 ! Moi qui pensais que tout journaliste rêvait de ce Graal télévisuel, je me retrouve à reconsidérer mes certitudes. Entre choix professionnels et équilibre personnel, cette femme m’intrigue. Et si on creusait ensemble ce qui se cache derrière cette décision qui secoue l’audiovisuel public français ? Car entre nous, la question du salaire de Caroline Roux mérite qu’on s’y attarde, non ? J’ai mené l’enquête pour vous, entre rumeurs de couloirs et déclarations officielles.
Le salaire de Caroline Roux : une question de choix professionnel
Parlons argent sans tabou – parce que c’est bien de ça dont il s’agit quand on parle de carrière, non ? Caroline Roux a fait ce que peu d’entre nous auraient le courage de faire : dire non à une proposition alléchante de 25 000 euros mensuels pour présenter le JT de 20h de France 2. Cette information, qu’elle a elle-même confirmée dans La Tribune Dimanche, m’a laissée sans voix. Je n’arrive pas à déterminer si c’est de l’audace ou de la folie.
Selon mes recherches, Caroline préfère conserver ses émissions actuelles, notamment « C dans l’air » sur France 5 et « L’Événement » sur France 2. Ce choix, loin d’être anodin, témoigne d’une réflexion personnelle profonde. Elle se dit « alignée, sereine » après cette décision qui a nécessité « une grande introspection ». Entre nous, cette capacité à refuser le prestige pour préserver son équilibre me fait repenser ces moments où j’ai accepté des projets par peur de rater une opportunité.
Pour comprendre l’ampleur de sa décision, voici un comparatif des rémunérations dans l’audiovisuel public :
| Journaliste/Animateur | Émission | Rémunération estimée |
|---|---|---|
| Caroline Roux | « C dans l’air » | 27€/heure (coût horaire d’animation) |
| Léa Salamé | JT 20h France 2 | 25 000€/mois |
| Nathalie Saint-Cricq | Éditorialiste politique | 5 789€ net/mois |
Ce qui me frappe, c’est cette distinction subtile mais fondamentale soulevée par Nathalie Saint-Cricq : « les gens confondent les salaires des journalistes et ceux des animateurs« . Une phrase qui résonne comme un rappel que derrière les paillettes, se cache souvent une autre réalité économique. Comme professionnelle de l’information, j’admire cette transparence rare dans un milieu où l’argent reste généralement un sujet tabou.
Qui est le mari de Caroline Roux ?
Impossible de parler de Caroline Roux sans évoquer son époux, Laurent Solly. Leur union m’interpelle tant elle semble cristalliser cette fameuse porosité entre médias et pouvoir qui me fait lever les yeux au ciel. Lui, ancien directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy devenu directeur de Facebook France, elle, journaliste politique de premier plan. Je ne peux m’empêcher de me demander comment on maintient son indépendance journalistique quand on partage sa vie avec quelqu’un d’aussi connecté aux sphères d’influence.
Ce couple incarne parfaitement ces nouvelles élites qui naviguent entre politique, médias et tech, ces ponts qui se construisent entre différents univers de pouvoir. Sans porter de jugement, je m’interroge : comment Caroline Roux gère-t-elle cette situation quand elle interviewe des personnalités politiques proches de l’ancien président ? Cette question mériterait bien un sujet dans mon magazine.
Sa relation avec Laurent Solly pourrait-elle influencer ses choix professionnels ? Difficile à dire, mais une chose est sûre : avec un tel réseau à deux, les possibilités ne manquent pas. Je me plais à imaginer leurs conversations du soir, entre actualité politique et enjeux numériques. Un couple qui doit certainement avoir une perspective unique sur les coulisses du pouvoir français.
Les choix de vie de Caroline Roux me rappellent que derrière chaque personnalité médiatique se cache :
- Des arbitrages complexes entre vie professionnelle et personnelle
- Des considérations financières qui dépassent le simple chiffre sur un contrat
- Des relations personnelles qui peuvent influencer ou contraindre certaines décisions
- Une quête d’équilibre souvent invisible pour le grand public
Le parcours d’une journaliste qui assume ses choix
Ce qui me passionne chez Caroline Roux, c’est cette capacité à tracer sa route sans céder aux sirènes du prestige apparent. Pressentie pour remplacer Anne-Sophie Lapix au 20h de France 2 après l’annonce du départ de cette dernière le 27 mai, elle a surpris tout le monde avec son refus. Un choix qui a laissé la direction de France Télévisions désarçonnée et qui m’inspire profondément.
Je vois dans son parcours une forme de résistance aux injonctions de « réussite » telles que définies par l’industrie médiatique. Alors que Léa Salamé a accepté le poste au 20 heures avec ce salaire de 25 000 euros mensuels (soit moitié moins que ce que lui proposait BFM TV), Caroline Roux choisit une autre voie. Il y a quelque chose de profondément subversif dans ce refus qui me parle.
Sa présence à l’antenne, que ce soit dans « C dans l’air » ou « L’Événement », se caractérise par une rigueur et une précision qui forcent le respect. Je m’interroge : peut-être que sa décision reflète aussi une volonté de préserver cette exigence journalistique, loin du formatage parfois ressenti dans les JT traditionnels ? Entre liberté éditoriale et confort professionnel, Caroline Roux semble avoir trouvé son équilibre.
Son parcours nous rappelle une vérité essentielle : le succès ne se mesure pas uniquement à l’aune du prestige apparent d’un poste ou d’un salaire. C’est aussi une question d’alignement personnel, de valeurs et de choix de vie. Une leçon que je garde précieusement, comme un petit caillou brillant dans ma poche, pour les jours où je douterais de mes propres choix professionnels.
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